Je m’appelle Alexandra Morel, j’ai 36 ans, et j’ai un faible incurable pour les détails qu’on oublie de lire dans les dépêches.
Je suis éditrice de presse en région parisienne, spécialisée dans la relecture et le montage éditorial. Mon quotidien, c’est de rendre les articles plus clairs, plus solides, plus justes. Et parfois, en les réécrivant, je me rends compte qu’il manque… ce que personne n’a osé écrire.
C’est pour ça que j’ai créé ce blog : L’angle mort.
Un espace où je m’accorde enfin le droit de parler de l’actualité française à ma manière : en creusant ce qui reste à la marge, en questionnant ce qui semble aller de soi, en ramenant de la nuance là où tout devient binaire.
Je parle de politique, de société, de justice, d’éducation, de ruralité — bref, de la France telle qu’elle se vit vraiment, pas telle qu’on la résume en bandeau déroulant.
Ce qui me distingue ? Je suis aussi brodeuse contemporaine. Une passion née pendant le premier confinement, et qui ne m’a plus jamais quittée.
Je brode des mots sur du textile, parfois des chiffres, parfois des extraits d’articles ou des phrases coupées. C’est ma façon de ralentir l’info, de la fixer, de la faire passer par les mains. Broder, c’est refuser que l’actualité soit seulement éphémère.
📌 Ce que vous trouverez sur L’angle mort :
– Des articles d’analyse sur des sujets d’actualité française peu ou mal traités dans les grands médias
– Des décryptages de discours politiques, de récits médiatiques, de lois votées sans débat
– Des chroniques sur la manière dont l’information est fabriquée, transmise et oubliée
– Des liens entre actualité et textile : je brode parfois les mots que j’analyse, et j’en partage le processus
– Une écriture sobre, posée, mais engagée : ni dans la réaction, ni dans la leçon
Je crois qu’il est encore possible d’informer sans hurler, sans masquer, sans simplifier.
Et si toi aussi tu veux lire ce qu’on ne regarde pas toujours — dans les marges, dans les silences, dans les points de couture — alors sois le·la bienvenu·e ici.